8 novembre 2008
FreedoM's ChildreN
Je vais t’aimer demain, aujourd’hui je ne te connais pas encore. J’ai commencé par descendre l’escalier du vieil immeuble que j’habitais, le pas un peu pressé, je te l’avoue. Au rez-de-chaussée, ma main, qui avait serré la rambarde, sentait la cire d’abeille...